Skyrock.com
  • ACCUEIL
  • BLOGS
  • PROFILS
  • CHAT
  • Apps
  • Musique
  • Sources
  • Vidéos
  • Cadeaux
  • Cashback
  • Connecte-toi
  • Facebook
  • Google+
  • Crée ton blog

  • Blog

Le cinéma ne se définit pas avec des mots

Photo de LeCinemaEstMaVie

LeCinemaEstMaVie

Description :

" Le cinéma est une maladie "
Frank Capra

"Je ne veux parler que de cinéma, pourquoi parler d'autre chose ? Avec le cinéma on parle de tout, on arrive à tout."
Jean-Luc Godard

"Le cinéma, c'est comme l'amour, quand c'est bien, c'est formidable, quand c'est pas bien, c'est pas mal quand même."
George Cukor

"Ce que nous demandons au cinéma, c'est ce que l'amour et la vie nous refusent, c'est le mystère, c'est le miracle."
Robert Desnos

"Le cinéma, c'est l'écriture moderne dont l'encre est la lumière."
Jean Cocteau

  • Envoyer un message
  • Offrir un cadeau
  • Suivre
  • Bloquer
  • Choisir cet habillage

Ses Honneurs (23)

  • Spotlight
  • Com' 10.000
  • Fans 100
  • Amis 500
  • Anniv' 2 ans
  • Zlataneur

» Suite

Partage

  • Tweet
  • Amis 2

Design by lequipe-skyrock Choisir cet habillage

Signaler un abus

Infos

  • Création : 17/01/2011 à 04:44
  • Mise à jour : 27/02/2015 à 04:39
  • 1 327 articles
  • 11 131 commentaires
  • 405 amis
  • 447 favoris
  • 9 898 kiffs

Tags

  • Alfred Hitchcock
  • Audrey Hepburn
  • Billy Wilder
  • Brian De Palma
  • Cary Grant
  • Catherine Deneuve
  • Clint Eastwood
  • Ernst Lubitsch
  • Federico Fellini
  • François Truffaut
  • Isabelle Huppert
  • James Stewart
  • Jeanne Moreau
  • Marcello Mastroianni
  • Marilyn Monroe
  • Martin Scorsese
  • Michel Piccoli
  • Romy Schneider
  • Vittorio Gassman
  • Woody Allen

» Suite

Sources (447)

  • cactusdu03
  • Horror-Collection
  • MA-cine74
  • La-Fille-Du-CinEma
  • War-Movies
  • le-fou-du-de-funes
  • Pumpkinx
  • ARBITER31
  • UnAnDeCinema
  • FlorilegeDePoemes
  • CAmeRa-O-poing
  • lilou-lola272
  • Eight-DaysA-Week
  • green-day-lover-666
  • DreamsOfThePast
  • lieux-de-tournages

» Suite

Liens Skyrock Publicité

Abonne-toi à mon blog ! (8 abonnés)

RSS

Air Doll

Air Doll 
Titre original : 空気人形
Pays : Japon
Date de sortie : 2009
Réalisateur : Hirokazu Kore-Eda
Interprétation : Bae Doo-na, Itsuji Itao, Arata ...
 
Résumé :
Tokyo. Une poupée d'air habite l'appartement sordide d'un homme d'une quarantaine d'années. Elle ne peut ni parler, ni bouger, mais elle est la seule compagne de son propriétaire. Il lui parle, prend son bain avec elle, et lui fait l'amour chaque soir, en rentrant du travail. Mais un jour, le fantasme devient réalité : la poupée prend vie et développe des sentiments humains. Comme un nouveau-né, elle découvre un monde inconnu qu'elle aspire à découvrir.
Elle s'aventure alors dans les rues de la ville, fascinée par tout ce qu'elle voit, mais les gens qu'elle rencontre sont incapables de lui expliquer ce que veut dire “être en vie”... C'est en poussant la porte d'un vidéoclub qu'elle obtient enfin une réponse : elle fait la connaissance de Junichi, le vendeur, et tombe aussitôt amoureuse de lui.
 
Ma critique :
Suivant une idée intéressante, " Air Doll " est un joli film du cinéaste Kore-eda, vainqueur cette année du Prix du jury à Cannes pour son dernier long-métrage, " Tel père tel fils ".
Ici, son film baigne dans un climat particulier, s'approchant parfois du fantastique ( une poupée qui s'éveille ) bien qu'offrant une vision très réaliste du Japon urbain contemporain, rongé par la solitude.
L'héroïne se démarque des hommes et femmes qu'elle croise dans la rue : son regard frais et pur est comparable à celui d'un enfant qui s'émerveille des petits riens de la vie. Son passé de poupée gonflable et objet sexuel n'entache en rien sa vision naïve d'un monde en réalité vide et dur, vision qui aura raison d'elle.
La comédienne Bae Doo-na est merveilleuse dans ce rôle atypique et attachant, filmé avec tendresse par le réalisateur.
Toute l'originalité du film tient à ce personnage que la mise en scène sait mettre en valeur. On peut reprocher les longueurs présentes dans la deuxième heure du film, moins inventive que la première, qui était d'ailleurs plus légère. De beaux moments cependant parcourent tout le long du film : l'éveil au monde de l'héroïne bien sûr, mais aussi les scènes dans le vidéo-club empreintes d'une cinéphilie avouée, la mort sexuelle et douloureuse de Junichi et enfin les adieux de cette poupée à la beauté de porcelaine.

Air Doll
Tags : Hirokazu Kore-eda, Bae Doo-na, Itsuji Itao, Arata
​ 9 | 2 |
​
0 | Partager
Commenter

Plus d'informationsN'oublie pas que les propos injurieux, racistes, etc. sont interdits par les conditions générales d'utilisation de Skyrock et que tu peux être identifié par ton adresse internet (54.144.14.134) si quelqu'un porte plainte.

Connecte-toi

#Posté le samedi 21 décembre 2013 10:36

Modifié le vendredi 21 février 2014 06:40

Aimer, boire et chanter

Aimer, boire et chanter 
Titre original : Aimer, boire et chanter
Pays : France
Date de sortie : 2014
Réalisateur : Alain Resnais
Interprétation : Sabine Azéma, Michel Vuillermoz, Sandrine Kiberlain ...
 
Résumé :
Dans la campagne anglaise du Yorkshire, la vie de trois couples est bouleversée pendant quelques mois, du printemps à l'automne, par le comportement énigmatique de leur ami George Riley.
 
Ma critique :
Difficile de se dire qu'il s'agit du dernier film d'Alain Resnais ... et pourtant " Aimer, boire et chanter " apparaît comme un ultime conseil lancé au spectateur, un ultime cadeau, hommage au cinéma, au théâtre et à la vie.
Pour la troisième fois Resnais adapte une pièce d'Alan Ayckbourn, prenant beaucoup de plaisir à mettre en scène ce vaudeville malicieux tout en prenant des parti-pris formels déroutants ( qui sont comme autant de preuves que les derniers films du cinéaste ne sont pas aussi classiques que certains le prétendent en comparaison avec ses oeuvres datant de la Nouvelle Vague ! ) .
Resnais mêle donc théâtre ( puisque le récit tout entier est théâtral, tout comme plusieurs aspects de la mise en scène et le jeu des comédiens ), cinéma ( à travers la maîtrise de la caméra notamment ) et même dessin. Loin d'être hétérogène, le résultat surprend et fait réfléchir sur les liens entre ces trois arts. On peut autant détester qu'adorer cet artifice assumé et cette audace, présente dans le choix de plusieurs symboles inattendus ( une taupe spectatrice, une étrange photographie ).
Quant à l'histoire, elle est formidable de drôlerie et on la suit sans difficulté ( car ce sont surtout les parti-pris cités auparavant qui peuvent perturber le spectateur ), surtout grâce à la troupe d'acteurs qui s'en donnent à coeur joie.
La dernière scène, jumelle lointaine de celle de " Vous n'avez encore rien vu ", semble prémonitoire ... Mais s'il s'agit d'un enterrement, le générique de fin nous rappelle l'esprit de gaité annoncé dès le titre, un esprit joyeux que Resnais a une dernière fois concocté pour le plaisir de nous autres spectateurs... Une jolie façon de partir en beauté.

Aimer, boire et chanter
 
Tags : Alain Resnais, Sabine Azéma, André Dussollier, Michel Vuillermoz, Caroline Silhol, Sandrine Kiberlain, Hippolyte Girardot, Alba Gaïa Kraghede Bellugi
​ 5 | 4 |
​
0 | Partager
Commenter

Plus d'informationsN'oublie pas que les propos injurieux, racistes, etc. sont interdits par les conditions générales d'utilisation de Skyrock et que tu peux être identifié par ton adresse internet (54.144.14.134) si quelqu'un porte plainte.

Connecte-toi

#Posté le lundi 07 avril 2014 02:00

Modifié le vendredi 09 mai 2014 03:19

À l'est d'Eden

 À l'est d'Eden
Titre original : East of Eden
Pays : États-Unis
Date de sortie : 1955
Réalisateur : Elia Kazan
Interprétation : James Dean, Julie Harris, Raymond Massey ...
 
Résumé :
Une petite ville des Etats-Unis à l'aube de la Première Guerre mondiale.
Cal, jeune révolté, s'oppose, en faisant fortune, à son père qui lui préfère son frère.
 
Ma critique :
Une tragédie familiale bouleversante comme Kazan sait si bien les réaliser.
Au réalisme de Steinbeck s'ajoute la magnifique mise en scène de Kazan, fiévreuse et exaltée, tellement plus moderne que d'autres films hollywoodiens de la même époque, qui est admirable.
Cependant, on peut regretter quelques longueurs qui font que ce n'est pas le meilleur film de Kazan qui a su pour d'autres films conter des histoires intenses avec un peu plus d'énergie.
Mais la présence de James Dean dynamite les codes du jeu d'acteur et il devient profondément ce personnage touchant qui nous interroge sur la filiation. Kazan a parfaitement su le diriger et tirer parti de son talent en mettant ainsi en scène un tel personnage.
Ne serait ce que pour cette impressionnante performance ( à laquelle vient s'ajouter celle, formidable, de Julie Harris ), il faut voir ce film qui renouvelle d'une certaine façon le cinéma américain et annonce les chefs d'oeuvres de son réalisateur.
 
À l'est d'Eden
Tags : James Dean, Elia Kazan, Julie Harris
​ 49 | 48 |
​
0 | Partager
Commenter

Plus d'informationsN'oublie pas que les propos injurieux, racistes, etc. sont interdits par les conditions générales d'utilisation de Skyrock et que tu peux être identifié par ton adresse internet (54.144.14.134) si quelqu'un porte plainte.

Connecte-toi

#Posté le mardi 25 janvier 2011 14:35

Modifié le jeudi 20 juin 2013 06:48

Hommage à Alain Resnais

Hommage à Alain Resnais
 

"Je souhaite approcher par le film la complexité de la pensée, son mécanisme interne. Dès qu'on descend dans l'inconscient, l'émotion naît. Et le cinéma ne devrait être qu'un montage d'émotions. "
 
 
C'est avec tristesse que j'ai appris il y a quelques jours le décès d'Alain Resnais, l'un des plus grands réalisateurs qui a donné au cinéma français ( et international ) ses lettres de noblesse. Ce petit et tardif article rend un dernier hommage à ce grand maître du 7ème Art...
 
De ses premiers courts et moyens métrages engagés, déjà empreints d'une sensibilité unique, à ses chefs d'oeuvres signés de la grande époque de la Nouvelle Vague jusqu'à nos jours, Resnais nous aura enchanté en renouvellant sans cesse son art.
Quand d'autres cinéastes de sa génération restèrent fidèles à un style particulier qui marquait leurs films, Alain Resnais s'amusait à surprendre le spectateur : dans sa filmographie se côtoient adaptations littéraires et théâtrales, documentaires et même comédies musicales.
 
Certes, la mise en scène de ses films les plus récents est plus classique que celles, radicalement novatrices,
d'" Hiroshima mon amour " ou " L'année dernière à Marienbad ", mais pourquoi bouder son plaisir devant tant de films intelligents et séduisants ... Resnais fut aussi un grand directeur d'acteurs, tout d'abord avec de grands noms comme Emmanuelle Riva, Delphine Seyrig, Yves Montand, puis Jean Paul Belmondo et Gérard Depardieu avant de diriger sa fameuse et attachante troupe de comédiens, formée par Sabine Azéma, Pierre Arditi, André Dussollier ...
 
Son oeuvre entière est multiple et audacieuse : nous n'avons plus qu'à attendre la sortie de son ultime film,
" Boire et chanter ", afin de découvrir les surprises que Resnais nous aura réservées avant de tirer une dernière fois sa révérence.
 
Hommage à Alain Resnais
Tags : Alain Resnais
​ 7 | 1 |
​
0 | Partager
Commenter

Plus d'informationsN'oublie pas que les propos injurieux, racistes, etc. sont interdits par les conditions générales d'utilisation de Skyrock et que tu peux être identifié par ton adresse internet (54.144.14.134) si quelqu'un porte plainte.

Connecte-toi

#Posté le mercredi 05 mars 2014 14:29

Modifié le mercredi 12 mars 2014 16:02

Albert Nobbs


Albert NobbsTitre original
: Albert Nobbs
Pays : Irlande, Royaume-Uni, France
Date de sortie : 2012
Réalisateur : Rodrigo Garcia
Interprétation : Glenn Close, Mia Wasikowska, Aaron Taylor-Johnson ...
 
Résumé :
Au XIXème siècle, dans l'Irlande en proie à de terribles difficultés économiques, une femme se fait passer pour un homme afin de pouvoir travailler. Pendant trente ans, elle trompe son entourage, employée dans un hôtel sous le nom d'Albert Nobbs, en tant que majordome.
 
Ma critique :
" Albert Nobbs " est un film moins intriguant et subtil que le scénario pouvait laisser attendre, qui joue moins sur la carte de l'ambiguïté comme le spectateur aurait pu le désirer, mais il en demeure tout de même une réalisation classique et bonne qui s'efface derrière la performance de Glenn Close dans le rôle-titre.
L'actrice est tout au long du film surprenante, incarnant à merveille les tourments et les désirs de son personnage. " Albert Nobbs " traite avec intelligence de l'identité, du genre et de l'homosexualité, tout en livrant un bon portrait de la condition des femmes dans l'Irlande du 19ème siècle. Dans les deux autres importants rôles féminins, Mia Wasikowska et Janet McTeer sont émouvantes et convaincantes.
Cela atténue la mise en scène un peu conformiste et le côté archétypal de certains protagonistes, ainsi que certains parti-pris cinématographiques un peu faciles ( Albert Nobbs est obligé de dire à haute voix ses pensées!).
 
Albert Nobbs
Tags : Rodrigo Garcia, Glenn Close, Mia Wasikowska, Aaron Taylor-Johnson, Jonathan Rhys-Meyers, Janet McTeer, Pauline Collins, Brendan Gleeson
​ 6 | 7 |
​
0 | Partager
Commenter

Plus d'informationsN'oublie pas que les propos injurieux, racistes, etc. sont interdits par les conditions générales d'utilisation de Skyrock et que tu peux être identifié par ton adresse internet (54.144.14.134) si quelqu'un porte plainte.

Connecte-toi

#Posté le dimanche 14 septembre 2014 14:31

Modifié le lundi 15 septembre 2014 06:12

Alexandre le Bienheureux

Alexandre le BienheureuxAlexandre le Bienheureux 
Titre original : Alexandre le Bienheureux
Pays : France
Date de sortie : 1967
Réalisateur : Yves Robert
Interprétation : Philippe Noiret, Marlène Jobert, Françoise Brion...
 
Résumé :
Alexandre, homme bon vivant et nonchalant, est cultivateur dans une ferme française de la Beauce. Cependant sa vie quotidienne est dirigée par La Grande, son ambitieuse mais néanmoins tyrannique épouse, qui le pousse à bout de force en lui imposant chaque jour une liste de travaux démesurée. Devenu brutalement veuf, il éprouve un grand soulagement et se sent libéré de son labeur : il décide de s'accorder un repos qu'il juge mérité, afin de prendre le temps de savourer la vie. Son comportement sème rapidement le trouble dans le petit village par l'exemple qu'il donne, et une partie des habitants décide de le forcer à reprendre le travail. Mais ils échouent, et Alexandre commence à faire des émules...
 
Ma critique :
Avec " Alexandre le Bienheureux ", Yves Robert signe un film attachant et irrésistible auquel le spectateur ne peut que succomber.
Au premier abord, on a affaire à une comédie sympathique centrée sur un héros original qui bouleverse la vie tranquille d'un petit village de campagne.
Mais Yves Robert nous propose de rencontrer un personnage plus subversif qu'il n'en a l'air, dont les idées sont dans un sens révolutionnaires ( arrêter de travailler, seulement se reposer et profiter de la vie ! ) et s'insèrent bien dans le contexte de la France de 67.
" Alexandre le bienheureux " est entièrement porté par Philippe Noiret, excellent dans le rôle titre, et par de très bons seconds rôles ( Pierre Richard, Jean Carmet, Paul Le Person, Françoise Brion ... ). Sans oublier Marlène Jobert, dont le charme malicieux s'allie à merveille avec la bonhomie de Noiret et le partenaire canin de ce dernier !
La mise en scène suit cette aventure campagnarde qui offre un aperçu unique de la France dite profonde. Les couleurs et l'atmosphère recréent l'ambiance de la fin des années 60 qui nous rend si nostalgiques.
Une ode à la douceur de vivre !
 
Alexandre le Bienheureux
Tags : Yves Robert, Philippe Noiret, Marlène Jobert, Françoise Brion, Jean Carmet, Pierre Richard, Paul Le Person, Tsilla Chelton, Antoinette Moya
​ 8 | 7 |
​
0 | Partager
Commenter

Plus d'informationsN'oublie pas que les propos injurieux, racistes, etc. sont interdits par les conditions générales d'utilisation de Skyrock et que tu peux être identifié par ton adresse internet (54.144.14.134) si quelqu'un porte plainte.

Connecte-toi

#Posté le lundi 30 décembre 2013 03:13

Modifié le samedi 01 mars 2014 03:14

Alice

Alice 
Titre original : Alice
Pays : États-Unis
Date de sortie : 1991
Réalisateur : Woody Allen
Interprétation : Mia Farrow, Joe Mantegna, William Hurt ...
 
Résumé :
Alice, mariée depuis quinze ans, mère et épouse d'un homme brillant, riche et fidèle, mène une vie futile et a tout pour être heureuse . Mais un mal de dos persistant va bouleverser sa vie...
Sur les conseils d'amis, elle consulte un chiropracteur de Chinatown qui lui prescrit des potions qui ont des effets inattendus, surtout lorsqu'elle s'éprend d'un saxophoniste divorcé ...


Ma critique :
Un très beau film de Woody Allen moins léger et plus mélancolique qu'il n'y parait.
Certes, l'humour dévastateur du réalisateur est bien présent, mais d'autres profonds sentiments mènent le récit de cette " Alice ", portrait d'une femme qui peine à chercher sa voie au gré des déceptions et des regrets.
" Alice ", c'est un superbe cadeau à Mia Farrow, muse d'Allen qui tient là un de ses plus beaux rôles, où son charme et sa sincérité font talent. Woody n'hésite pas à montrer plusieurs facettes de son talent : on découvre l'héroïne tour à tour épouse catholique et un peu coincée, puis séductrice déstabilisante !
Le personnage d'Alice rappelle fortement celui de Cecilia dans " La rose pourpre du Caire ", celui d'une femme à qui la vie ne fait pas toujours des cadeaux mais que les rêves vont permettre d'aller plus loin dans la vie et de se découvrir. Ici, ce n'est pas le cinéma qui transforme cette femme, mais l'amour, et les conseils d'un médecin chinois excentrique !
Le fantastique s'incruste de temps à autre dans le récit, sans jamais être grotesque ou pesant. Le jazz rythme le tout, grâce à ds choix judicieux de musique de la part du réalisateur.
Ses choix de seconds rôles sont tout aussi réussis : William Hurt s'oppose à Joe Mantegna, tout deux excellents, sans oublier les participations de Judy Davis, Cybill Shepherd et Alec Baldwin.


AliceAlice
Tags : Mia Farrow, Woody Allen, Judy Davis, Cybill Shepherd, William Hurt, Joe Mantegna, Alec Baldwin, Robin Bartlett, Blythe Danner
​ 12 | 7 |
​
0 | Partager
Commenter

Plus d'informationsN'oublie pas que les propos injurieux, racistes, etc. sont interdits par les conditions générales d'utilisation de Skyrock et que tu peux être identifié par ton adresse internet (54.144.14.134) si quelqu'un porte plainte.

Connecte-toi

#Posté le vendredi 10 mai 2013 12:23

Modifié le vendredi 10 mai 2013 12:39

  • Précédent
  • 1
  • 2
  • 3
  • 4
  • 5
  • 6
  • 7
  • 8
  • 9
  • 10
  • ... 190
  • Suivant

Skyrock.com
Découvrir
  • Skyrock

    • Publicité
    • Jobs
    • Contact
    • Sources
    • Poster sur mon blog
    • Développeurs
  • Infos

    • Ici T Libre
    • Sécurité
    • Conditions
    • Aide
    • Signaler un abus
    • En chiffres
  • Apps

    • Skyrock.com
    • Skyrock FM
    • Smax
    • Yax
  • Autres sites

    • Skyrock.fm
    • Tito Street
    • Tasanté
    • kwest
    • Zipalo
    • oMIXo
  • Blogs

    • L'équipe Skyrock
    • Music
    • Ciné
    • Sport
  • Versions

    • International (english)
    • France
    • Site mobile